Je retrouvai après 5 ans, la Femme que j'avais toujours aimée. Nous nous étions rencontrés à l'université et étions restés en couple deux années.

C'était alors ma première réelle expérience de vie en couple. Puis un jour, elle m'avait annoncé que c'était terminé entre nous, qu'elle avait besoin de se retrouver seule. Les mois qui suivirent, j'étais dans un état très dépressif. Je ne pouvais m'empêcher de lui rendre souvent visite, et lorsque je la trouvais avec un autre homme, je tombais alors au plus bas.

Puis elle est partie dans une autre ville, sans trop donner de nouvelles. Ce jour, donc je reçus son coup de fil, elle revenait sur la ville où j'habitais et voulait que l'on se rencontre.

Elle vint donc prendre un verre chez moi et nous discutâmes de nos vies respectives. Je dus lui avouer que je n'avais eu aucune autre relation depuis et elle m'expliqua qu'elle avait eut une dizaine d'hommes dans son lit depuis et qu'elle était actuellement avec quelqu'un, mais ne savait pas trop où cela en était.

Je lui demandais si moi j'avais encore une chance avec elle, alors elle me dit qu'elle y penserait. Je me mis alors à genoux devant elle et pleurant, je la suppliai de me reprendre. Elle m'embrassa. Je lui ai alors enlevé ses chaussures et je lui ai baisé les pieds.

Elle fut surprise mais me laissa faire. Dans la soirée nous fîmes l'amour et je lui demandais de me raconter ses aventures avec les autres hommes. Elle refusa d'abord, puis se laissa aller et me fit part des parties de jambes en l'air qu'elle avait eut depuis notre rupture... Notamment celle d'un amant maghrébin qui lui avait fait l'amour d'une façon divine, et qu'elle regrettait encore. J'étais dans un état mêlant extrême jalousie et extrême excitation, j'avoue que nombre de mes branlettes tournaient souvent sur le thème d'elle, se faisant prendre par un autre.

Elle vit mon excitation, m'embrassa en me prenant la tête à deux main puis doucement me fit descendre la tête vers son sexe. Il était encore luisant de notre activité précédente et je me mis à l'embrasser d'abord, puis a le lécher goulûment. Je l'adorais son sexe, ses grandes lèvres et je m'imaginais en la léchant ces autres pénis qui l'avait pénétrée, je la léchais alors de plus belle. Cette Femme qui m'offrait sa chatte, qui me permettait de lui donner du plaisir, je la considérais d'un coup comme ma Reine, ma Déesse, et je devenais sa chose...

Les jours qui suivirent, elle s'installa chez moi. Elle avait décidé avec son ami actuel de faire une pause. Elle n'avait jamais eu de côté dominatrice, mais laissait s'exprimer mon côté soumis avec plaisir et amusement. Lorsque je rentrais du travail, elle était souvent là, je me mettais à ses pieds et commençais à l'embrasser, les pieds, les jambes et cela se terminait par un cunnilingus délicieux que nous apprécions tous les deux divinement. Lorsque ma tête était entre ses cuisses, je savais que je lui appartenais. Il n'était pas rare que je passe une heure ou plus à lui manger sa divine chatte.

Un soir nous avons parlé de notre relation, concluant que nous nous engagions vers une relation ou elle était la Maîtresse et moi son serviteur, je lui avouai alors tous mes fantasmes de soumission qui me trottaient dans la tête et elle avoua qu'une relation de domination, chose nouvelle, lui semblait être intéressante.

Nous convînmes donc que ce genre de relation serait désormais la notre. Je lui dis alors qu'il fallait faire quelque chose pour sceller ce pacte nouveau. Elle m'ordonna alors de m'allonger sur le dos, m'enjamba, pris ma tête par dessous avec ses deux mains et l'appuya fort contre son sexe tout en m'ordonnant d'ouvrir grand la bouche. Je me laissais faire par cette Femme qui était désormais ma Maitresse, devinant qu'elle allait être mon sort. Lorsque je sentis et entendit le premier jet d'urine, j'eus tout de même un choc.

Je déglutis ce nectar qui sortait du corps de la Femme que je vénérais et appréciais ce gout que j'avais déjà aime lorsque je la léchais après qu'elle soit allée aux toilettes.

• " c'est bon ? tu aimes ma pisse ? Je pense que cela pourra définitivement te lier a moi ! Ouvre grand la bouche, ce n'était qu'un premier jet, le reste vient maintenant"

Je ne pus qu'acquiescer par un grognement, puis je sentis ma bouche se remplir du délicieux liquide chaud, tout en entendant ce bruit particulier de l'urine qui sort de la chatte d'un Femme. J'étais au summum de l'excitation et avalai rapidement tout ce nectar délicieux. Puis nettoyais les quelques gouttes restantes lorsqu'elle se retira de ma bouche.

• "merci chérie pour cet instant de communion intense, je t'ai bu, tu est divine."

• "tu as bu ma pisse chéri, le liquide de mon corps, maintenant tu m'appartiens."

Les jours suivant nous explorions les possibilités de notre nouvelle relation. Seul son plaisir nous importait, je le léchais abondamment, son sexe et également son anus. Elle s'asseyait fréquemment sur ma tête et j'aimais son odeur. En général lorsqu'elle était repue, elle me disait de me branler devant elle.

• 'vas y maintenant, branle ta petite bite, prend ton plaisir'

Je devais bien sur récolter le sperme dans mains et l'avaler ensuite.

Nous vivions ainsi depuis 2 semaines, lorsqu'elle m'annonça qu'elle ne serait pas la ce week-end, qu'elle retournait dans son appart car son ami devait passer la voir. Je tombais d'un coup dans la réalité du fait qu'elle était en effet encore engagée avec un autre. je lui demandais quelles étaient ses intentions, mais elle ne répondit rien, me faisant mettre à genoux et embrasser son sexe par dessus son jean.

Le vendredi soir venu, on allait faire les courses ensemble dans un grand magasin. je faisais les courses du weekend (elle n'avait pratiquement pas de revenus, je payais donc toujours tout). Je la vis prendre un nécessaire a épilation. Puis lorsqu'on passa devant la lingerie féminine, elle m'attira dans le rayon et me dit qu'elle n'avait plus rien de nouveau depuis longtemps. Regardant quelques belles culottes, elle en prit une vint vers moi et me demanda :

• tu penses qu'il aimera cela ?

En voyant ma mine déconfite, elle ajouta :

• enfin mon chéri tu savais ce qu'il en était. Je vais retrouver mon ami que je n'ait pas vu depuis plus de 3 semaines, que penses tu que l'on va faire ?

• ..h eu .. ben je pensait que vous alliez discuter de votre relation et que tu voudrais lui mettre un terme...

• Je n'at encore rien décidé, mais ce qui est sûr c'est que nous allons faire l'amour, j'ai toujours aimé la façon dont il me prend, un peu brutalement. Aller chéri, aide moi à me faire belle pour lui, choisissons un ensemble sexy que tu m'offriras pour que je l'excite et qu'il me baise bien !

Elle mit alors sa main à ma braguette :

• Tu vois, en plus je sens que cela t'excite ... alors soit chou, pas d'histoires mon soumis !

J'abdiquai, le fait de l'imaginer se faire baiser par un autre m'excitait autant que me rendait jaloux.

Le samedi, je la ramenais donc à son appartement et rentrais chez moi la tête basse, mais le sexe haut. Je me branlais 4 ou 5 fois dans la journée en l'imaginant avec cet homme. Dimanche matin je reçus un coup de fil :

• Allo chéri, c'est moi, tu as passé une bonne soirée ?
• .......
• moi c'etait terrible, Jean (son ami) n'as rien perdu de ses qualités.

Je lui ai explique notre situation et il aimerait te rencontrer. Passe à l'appartement, on t'attend, apporte-nous les croissants. Elle avait coupé avant que je n'ai pu dire quoi que ce soit. Mon coeur était noué, j'avais la confirmation qu'elle avait baisé toute la nuit et en plus elle lui avait parle de moi. que lui avait-elle dit? Lui avait-elle parle de notre singulière relation ?

Je sortais donc, pris des croissants et me rendit chez elle, le coeur prêt à chavirer. J'étais anxieux... J’étais derrière sa porte et entendait des rires masculins et féminins. Je sonnai et l'entendit me dire d'entrer.

Ils étaient les deux à table, buvant un café. Sophie ne portait qu'un long tee-shirt et Jean était en simple caleçon. Son appartement était en fait un studio, le lit était donc juste a côté et je vis les vêtements jetés pèle mêle un peu partout. Mon regard s'attarda sur la culotte que j'avais achetée la veille à Sophie et qui gisais par terre, enroule, comme si on l'avait enlevée dans la hâte. Je sentais mon sexe gonfler.

• 'tu as pensé au croissants, c'est bien chéri tu es un adorable petit soumis !"
• 'le voila donc ton petit serviteur' dit Jean
• 'oui, c'est lui, il m'appartient et fait tout ce que je lui dis de faire, regarde' dit Sophie dans un sourire a Jean.
• 'Chéri, vas ramasser nos affaires qui trainent et range les bien sur le lit'

Mortifié je restais sans voie, sans mouvement

• ' allez chéri ne me fait pas honte devant Jean, tu auras le droit de sniffer ma culotte si tu es gentil'

Sophie m'humiliait intentionnellement, et la bosse dans mon pantalon me disait que j'aimais cela. Sous les rires de Jean, j'allait donc m'exécuter. Je ramassais leurs affaires et les pliai soigneusement sur le lit, mon coeur battait fort.

• 'C'est bien mon chéri, tu peux renifler ma culotte, et ensuite lave la avec ta langue, je l'ai beaucoup mouillée hier soir !'

Je m'exécutais encore une fois, ne disant rien, tel un zombie. Je pris la culotte de Sophie, la déroulais, cherchant l'endroit de son entre jambe. Je repérais ce petit surplus de coton qui était bien auréole avec des traces un peu séchée. Je me mis à la lécher devant eux, m'efforçant de la nettoyer de ses traces. Son gout, je le connaissais et mon sexe abondait de plus belle.

• 'Tu devrais être à poil pour honorer ainsi la culotte de ta Maitresse !' dit alors Jean.
• 'Oui, bonne idée, déshabille toi mon esclave, je veux voir si mes essences féminines te font toujours autant d'effet' m'ordonna Sophie.

Je ne reculais plus, je savais déjà depuis quelques instants que j'allais être leur objet d'amusement, aussi je me déshabillais, rouge de honte, mon sexe en érection, debout au milieu de la pièce, la culotte de Sophie devant ma bouche et ma langue passant sur ce délicieux morceau de coton souillée par son désir d'hier soir.

Sophie me regardait et je voyait sa main bouger vers son sexe. Jean avait une érection et son sexe sortit soudain de son caleçon.

• 'Ta maitresse m'a demandé de te montrer comment un vrai homme baise une Femme' dit Jean.

Il se leva, fit se lever Sophie et la dirigea vers le lit. Elle s'allongea sur le dos, je voyais son regard déjà pris dans le désir intense de ce qui allait se passer.

Il la prise alors devant moi, la pénétrant d'un coup, arrachant un petit cri de ma Sophie. Le spectacle me fascinait. Sophie me lançait des regards tandis que Jean la labourait. Elle gémissait beaucoup et Jean avait un rythme soutenu. Elle me fit signe d'approcher, m'attrapa par les cheveux et dirigea ma tete vers son sexe dans lequel une bite faisait des va et vient. Elle gémissait de plus en plus fort et me cria presque : 'hoo comme il me prend bien .. hmm tu voit chéri comment on doit me faire l'amour, comment on doit me prendre .. hmmmm'

• ' ho oui, baise moi Jean .. baise moi devant mon soumis qu'il me voye jouir'

Sa main m'agrippait de plus en plus fort, me poussant de plus en plus vers leur deux sexe unis. Je sentais les effluves de Sophie, forte, j'entendais le clapotis de son sexe se faisant pénétrer, mon nez était presque colle a leur deux sexe, ma tête prise entre leur deux corps. Sophie criait maintenant puis se laissa aller dans un orgasme d'une intensité folle, tandis que je voyait la bite de Jean se contracter plusieurs fois pour jeter sa semence dans le sexe de ma Maitresse.

Jean sorti rapidement et s'allongea sur le cote, les deux respirait vitre et fort, reprenant leur esprit. Sophie tenait toujours ma tête et au bout d'un instant, ayant repris ses esprit, elle me fit grimper sur le lit et plaça ma tête entre ses cuisses.

• Lèche moi maintenant mon chéri, montre moi que tu as aime que je prenne autant de plaisir, lèche tout, nettoie le sexe de ta Maitresse.

J'étais totalement excite et la vue de son sexe, ouvert, rougi et dégoulinant de sperme m'excitait encore plus. Je le léchais donc, recueillant le sperme sur le haut de sa cuisse d'abord puis sur son sexe puis dans son sexe. Il était chaud, le gout du sperme ne me dérangeait pas, j'aimais ma Maîtresse, toujours plus.

Le reste de la journée fut passé dans le même style ..

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